Une trentaine de personnes ont assisté à la célébration de l’unité des chrétiens le 22 janvier dans la chapelle du temple de Clairac.
La célébration était animée par Pascal Lefebvre, pasteur de la Vallée de la Garonne, Bonheur Agudze, pasteur de la Vallée du Lot et le père Michel Olivier curé de la paroisse de Clairac Tonneins.
Pour finir la soirée, un goûter offert par la paroisse.
Continuer la lecture de Célébration de l’Unité des Chrétiens
Nous étions nombreux pour accueillir Bonheur Agudze, notre nouveau pasteur. Nous lui avons souhaité la bienvenue, mais nous avons aussi pris un engagement : celui de nous efforcer, dans ce temps d’apprentissage et de découverte, d’être des partenaires attentifs et fraternels.
Le message que nous a apporté Alain Pélissier, disait la même chose !
Il nous a fait entrevoir la différence qu’il y a entre Jean Baptiste et Jésus. Continuer la lecture de Bonheur à l’honneur
Tous à STRASBOURG !Partis ce jeudi 26 octobre de la place Calas, nous sommes arrivés à Strasbourg le lendemain à 14h.
Nous avons profité du temps du trajet pour faire connaissance avec les autres jeunes de la région. Nous étions le plus grand groupe en nombre.
Strasbourg, cette ville cosmopolite, ville européenne nous a conquis, par son accueil, son architecture mais surtout par la réussite de l’organisation de cet évènement qui a rassemblé des dizaines de milliers de personnes Continuer la lecture de Protestants en Fête à Strasbourg
Ce groupe est un quintette vocal masculin, originaire de VALREAS (84). Inspiré par le fameux « Golden Gate Quartet », leur répertoire regroupe des Negro Spirituels et des Gospels, la plupart bien connus : Rock my Soul, Nobody knows, Amazing Grace, Jericho etc…
Leur technique est parfaite, les harmonisations réalisées par leur chef, Jean-Paul FINCK, sont originales et intéressantes, les voix sont belles et chaudes… comme on les admire aussi dans les solos. Les rythmes sont remarquables, avec tous ces contre-temps si difficiles à exécuter.
L’origine du Negro Spirituel et du Gospel ? Bien sûr, c’est le travail des esclaves noirs dans les champs de coton ou de canne à sucre, au sud des Etats-Unis. La déportation, commencée au 17ème siècle, concernait des noirs originaires d’Afrique Occidentale. C’était un commerce fort lucratif organisé par le Vieux Continent (quinze millions d’Africains quand même !!!)
Alors, pour rythmer un travail exténuant, dans un climat épouvantable, les noirs chantaient. De temps à autre, l’un d’eux inventait un nouveau couplet, repris par les autres. Les thèmes ? L’attente de leur libération, comme les Hébreux longtemps esclaves en Egypte. Le retour du Christ, la résurrection qui les attend dans une nouvelle vie magnifique.
Pendant le concert, chaque chant a été introduit par un court commentaire de Jean-Paul FINCK… et finalement, nous avons reçu un véritable message évangélique, plein de force, de joie et rempli d’espérance.
de BONNECHOSE
Vendredi 6 octobre fut projeté au cinéma de Ste-Livrade le film «Luther »
« Depuis longtemps les moyens techniques et la mode nous ont habitués aux films biographiques. C’est le cas pour cette forte personnalité que fut Martin Luther né à une époque, la Renaissance, si riche dans les domaines artistique, littéraire. Il est de bon ton de revendiquer un homme selon nos convictions, nos appartenances, et les commémorations s’y prêtent. Luther a voulu faire table rase de certains abus. Homme protéiforme et cependant constant. Regardons le tableau de Lucas Cranach l’ancien: bien qu’étant vieilli, le visage est énergique. Film fort intéressant sur le plan des costumes, des mouvements de foule, et des caractères des protagonistes. »
Aline Rivière
Le film fut suivi d’un débat animé par Pascal Lefebvre, théologien et pasteur sur les paroisses de Tonneins et de Marmande ; Il mit en avant la personnalité de Luther ainsi que le contexte social, politique et religieux de son époque (bien traduits dans le film) et termina cette soirée par une citation au sujet de Luther, inspirée par P. Maury :
Contrairement à ce qu’on pense en général et à ce qu’enseignent les livres d’histoire scolaire, ce n’est pas seulement dans la décadence de l’Église médiévale ou le scandale de la vente des Indulgences qu’il faut trouver la racine de la Réforme, mais dans la crise intérieure d’un homme, Martin Luther.
« Son drame n’est pas le drame d’un réformateur, mais celui d’une conscience prophétique. Il faut chercher dans des angoisses purement spirituelles et personnelles l’origine de ses découvertes et de son action » (P. Maury).
En lutte avec sa conscience et avec son Dieu, Frère Martin n’imaginait aucunement que cela le mènerait à devenir un jour le Luther de la Réforme. Il a vécu avec une grande densité intérieure l’angoisse de la perdition, puis la libération du salut par la grâce.
S’il a été projeté sur l’avant de la scène, s’il est devenu cette figure unique de l’histoire de l’Église, c’est qu’il n’a pas pu supporter que reste captive cette vérité qui l’avait fait naître à la vie.
Il en est devenu le témoin pour tout un peuple, le chantre de la grâce. Il a trouvé des accents si personnels pour la célébrer que les gens les plus simples l’ont senti trés près d’eux, ont vibré avec lui et l’ont suivi.
Aujourd’hui encore, nous pouvons faire l’expérience d’un Evangile libérateur, qui ouvre et élargit notre conscience ! (Cité par P Lefebvre)
Dimanche 22 octobre, nous avons vécu le culte de la Réformation en commun avec nos amis de la Vallée de la Garonne. Ensemble, les pasteurs Pascal Lefebvre, Bonheur Agudzé et Frédéric Rognon nous y ont porté un message sur l’Espérance.
Ce culte fut suivi d’un apéritif offert par Tonneins puis d’un repas partagé et…
d’une conférence débat du professeur Frédéric Rognon, philosophe des religions à l’Université de Strasbourg sur un grand philosophe protestant: Jacques Ellul.
Le thème de la conférence était : « Une espérance pour aujourd’hui » :
Pour en savoir davantage, lire des ouvrages de Jacques Ellul ( « A contre-courant » « Ellul par lui-même »….) ou ne pas manquer la prochaine conférence de Frédéric Rognon !
Merci pour cette après-midi très enrichissante, très intéressante.
Jacqueline Hollaar-Jack
Les temps Kamishibaï bibliques de cet été dans le temple de Castelmoron.
17h45 : Martine Ralu et moi ouvrons le temple. Le tapis et les coussins nous accueillent. Nous mettons tout en place : le petit théâtre de bois, l’histoire biblique du jour, les livres pour les adultes, la table pour le verre de l’amitié. Puis c’est l’attente. Qui sera là ce mercredi ? Il y a eu les fidèles, des grands-mères avec leurs petits-enfants, et des visiteurs d’une fois. Quel bonheur de raconter David et Goliath à des enfants qui l’entendent pour la première fois de leur vie ! Oui, ce service a du sens ! Rendez-vous l’an prochain pour les mercredis d’histoires bibliques contés.
Isabelle Bousquet.
« Les ouvriers de la onzième heure », est une parabole de l’évangile selon Mathieu, Ch 20, ver 1 à 16. On ne trouve cette parabole que dans cet évangile ; elle fait donc partie de son sondergut, « bien propre » en allemand.
Voilà le thème du sermon de ce dimanche, choisi par notre Pasteur Bonheur Agadzé qui a revêtu pour cette occasion une robe blanche qui rappelle la lumière de la résurrection.
La décoration du temple, réalisée par les élèves de l’école biblique et les catéchumènes, répondait au thème de la vigne avec les quatre couleurs liturgiques : le vert, le blanc, le rouge et le violet.
La parabole a été jouée par les catéchumènes et saluée par l’auditoire.
Ce culte de rentrée a été l’occasion de présenter l’avenir de notre église :
L’école biblique (enfants de 8 à 12 ans), 7 enfants encadrés par trois monitrices :Marielle Pénilla, Sylvaine Van De Hel et Frédérique Boulesque.
Les catéchumènes (adolescents de 12 à 15 ans), 8 adolescents encadrés par deux monitrices Martine Ralu et Jacqueline Jack-Hollaar.
Les Eclaireuses et Eclaireurs Unionistes de France :
Les louvettes et louveteaux (8 à 12 ans), 18 enfants encadrés par Camille Van de Hel, Nolwenn Mazières, Hervé et Hugo Berton.
Les éclaireuses et éclaireurs (12 à 16 ans) 22 adolescents encadrés par Siméon Pénilla, Bastien Van de Hel et David Jack.
Les aînés (16 à 19 ans) 10 jeunes gens encadrés par Estelle Rockx et Guillaume Mazieres.
Ces présentations ont été applaudies.
Puis le Pasteur a interrogé l’assistance nombreuse, sur le ressenti des paroissiens à propos de l’organisation de notre paroisse, ceci afin de répondre au questionnaire de la région. Cetteenquête a été rondement menée par un Pasteur qui donne de sa personne, du bonheur pour tous…
De nombreux chants rythmés ont réuni les générations pour finir par un gospel !
Après un déplacement rapide, « facilité » par la pluie, nous nous sommes retrouvés 90 convives à la salle Tivoli.
Le repas a été préparé dans une parfaite entente : l’apéritif par les villeneuvois, le poulet basquaise par Castelmoron, le dessert par Clairac, avec les traditionnels fromages de Broc et le vin de St Médard.
La tombola a fait des heureux, les enfants ont tenu le vestiaire pour préparer leur voyage et la trésorière nous a semblé satisfaite !
Malgré le temps maussade, le soleil était dans nos cœurs et nous avons partagé un temps fort.
Soyons certains, que comme dans la parabole, pour les prochaines vendanges, tous les « ouvriers » auront le même « salaire » quelle que soit l’heure d’arrivée dans la Vigne du Seigneur…
Gérard Augros
Cap-Vert, Mexique, Catalogne et Tahiti ont été représentés cette année lors des Folkloriades de Castelmoron et c’est avec joie que nous avons accueilli, le groupe représentant « la Polynésie » lors du culte du 23 juillet présidé par Joséphine Claudel-Pellet.
Nos amis Tahitiens nous ont fait le plaisir d’introduire ce culte par un chant.
Après les salutations et la proclamation de la Grâce de Dieu, nous avons eu une courte liturgie, afin de permettre au groupe de s’exprimer :
Tahiti est une île de la Polynésie française
Il y a au total 118 îles, 5 archipels qui nous font rêver dont Bora Bora la perle du Pacifique, Moorea l’île Magique, enfin Tahiti l’île Reine. Papeete en est la capitale.
Les îles du vaste archipel polynésien réjouissent le cœur des vacanciers.
Nous avons eu le privilège d’écouter quelques chants accompagnés des instruments typiques de la Polynésie, comme le youkoulélé et les guitares.
Enfin vers la fin du culte nous avons proposé la prière du Notre Père dans une
langue de « là-bas »; Ce fut un moment émouvant, mais le temps le plus fort a été celui où nous nous sommes tous donnés la main (toute l’église) sur l’initiative d’une jeune polynésienne pour prier ensemble le « Notre Père » en français, car tous partageaient notre langue.
Notre Pasteur Bonheur AGUDZE, après s’être brièvement présenté, leur a exprimé tous nos remerciements et souhaité une belle journée de fête.
Avec lui, nous avons rejoint le cortège qui menait à la place de la Mairie. Là, étaient réunis, dans leurs beaux habits respectifs, tous les danseurs et musiciens des différents groupes folkloriques venus des quatre coins du monde , pour se réjouir encore de ces belles Folkloriades !
Joséphine Claudel-Pellet
11 et 12 mars : Sur les traces de Paul…
C’est après avoir préparé leurs baluchons que les enfants de l’école biblique de la Vallée du Lot sont partis pour un long voyage, tout comme Paul en son temps. En route pour arrêter les disciples de Jésus, ils ont été aveuglés par une grande lumière en se rendant à Damas et ont eu la frayeur de leur vie : des photos en témoignent !. Continuant leur chemin, ils ont ensuite rencontré Ananias qui leur a permis de recouvrer la vue, Saul devenant Paul, se lançant dans un voyage à la rencontre de nouveaux chrétiens. Une série d’aventures les attend, heureusement qu’ils ont pensé à prendre leur décodeur de messages dans leur baluchon pour connaître leur destination. A Antioche ils ont prêché à la synagogue pour annoncer le message de paix de Jésus : pas facile de dire des virelangues sans se tromper !. A Chypre, ils ont converti un gouverneur et aveuglé un magicien qui se faisait passer pour un prophète : ils lui en ont mis « plein la vue » avec leur adresse au bilboquet. A Lystre ils ont guéri un infirme :un parcours difficile pour transporter l’un des leurs sans tomber. A Philippe, ils sèment le trouble dans la ville, ils ont été enfermés en prison où le gardien les a enchaînés : c’est compliqué de se défaire de ses liens. Mais « Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé» a dit Paul. A Athènes ils doivent prêcher devant les athéniens (eux qui adorent plusieurs Dieux) et leur parler de Jésus, du Dieu unique. Il fallut aussi affronter les Athéniens dans des jeux olympiques redoutables : course d’échasses, tir de javelot, pyramides humaines. Après ces épreuves, les voilà continuant leur périple, éclairés par la flamme (olympique) de leurs lampions, ils atteignent alors Corinthe et réfléchissent sur le sens du véritable amour. Puis en allant à Malte ils ont été pris dans une tempête terrible. Tous les passagers sont terrorisés, mais ils ont confiance en Dieu : il ne leur arrivera rien, même s’ils ont été projetés à une hauteur vertigineuse au-dessus de ce drap qui symbolisait la mer déchaînée !
Arrivée à Rome, fin du voyage : Paul y sera exécuté, saccusé de trouble de l’ordre public : partout où il est passé, une nouvelle église chrétienne s’est créée.
Avec quelques adaptations, il est vrai, et à travers ce jeu de piste, les enfants ont découvert le personnage de Paul et ne sont pas prêts d’oublier ce WE : bricolages, jeux, raclette, la nuit passée tous ensemble, et le matin le culte avec tous les paroissiens, les parents et amis. Et tout ça sous un soleil radieux !
Nous n’oublions pas d’adresser un immense MERCI aux grands du KT et post-kt venus prêter main forte aux monitrices
Sylvaine VAN DE HEL